Séjour où des corps vont cherchant chacun son dégoût. Assez confiant pour permettre de pleurnicher en vain. Assez restreint pour que toute ivresse soit vaine. C'est l'intérieur d'un plaisir agréable ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour l'affection. Fragilité. Sa souffrance. Son vertige. Sa rage comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de la consolation totale émettaient chacun sa rancoeur. Le toupet qui l'agite. Il s'aigrit de loin en loin tel un entrain sur sa fin. Tous s'emportent alors. Leur rêve va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout tressaille.
Bidouille (Nordmann)
faites muter vos textes |
le fil info |
géographie |
poèmes automatiques |
expliquez-
moi |
la genèse mutée |
... plus ... |
nos romans |
encre |
menu |
contact |